aasha.pyaar

Don't worry...

Vendredi, j'ai appris que j'ai réussi un concours et que j'étais admise dans une école près de Versailles. Ah bah ça, oui, j'étais contente! Foutu concours que certain(e)s passent des années à avoir. Bon, je suis quand même encore en attente de résultats d'écoles plus proches de moi.
Parce que oui, aller sur Paris l'année prochaine, sachant que celui que j'aime y vit, ça serait le pied. Et puis, on pense au côté matériel: le logement. Et plus je regarde les annonces, plus ça me déprime. C'est révoltant de voir de tels prix! Et au nom de quoi? Qu'est-ce qui justifie de tels loyers?

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Si je dois partir à la capitale à la rentrée, je suis consciente que ma qualité de vie connaîtra un changement radical. Je vivrai certainement dans une piaule minuscule, le temps de transport quotidien sera bien au-delà de mes 10 mns habituelles, la Nature sera loin et Babylone m'absorbera.
Alors si jamais je dois partir, Il aura intérêt à être trèèèèès présent, parce que la déprime me guettera.

Dimanche 8 mai 2011 à 19:32


Samedi 7 mai 2011 à 22:45

Quand je suis partie pour cette classe découverte, je m'attendais à tout sauf à ça. D'habitude, je garde toujours dans un coin de ma tête que, potentiellement, je pourrais rencontrer quelqu'un. Et cette fois, même pas. Du coup, paf (!), ça me tombe dessus.
Je me souviens de tout: la rencontre à Roissy, le feeling qui passe immédiatement, le fait que (comme par hasard) on se retrouve à accompagner le même groupe. Ce soir où j'ai traîné plus longtemps dehors avec lui, les délires, les étoiles, la gêne mutuelle. Ce couloir où il m'a donné son premier baiser. Tous ces moments passés ensemble. Si je vous dis qu'à partir de ce fameux soir j'ai pas passé une seule nuit entière dans ma chambre?

Et puis, il a fallut se quitter. Il reste sur Paris, je rentre dans ma chère Bretagne. On reste en contact et le manque se fait de plus en plus ressentir. Et puis, il y a cette journée de concours à Nantes, 2 jours après la fin de la classe. Je suis fatiguée, malade, j'ai plus de voix. Alors en fin de journée, le moral baisse tout doucement. Jusqu'à ce que j'arrive chez moi et que je craque. Jamais les larmes n'auront autant coulées pour un mec, pour son absence et le manque qu'elle cause. C'est décidé, je pars à Paris! Et, une semaine plus tard, j'y suis.
2h20 de train. Jamais ça ne m'a paru aussi long! Alors que le weekend fut beaucoup trop court. Magique mais tellement court.

Avec lui, tout semble simple, tout est naturel. On est à la fois amis, amants et amoureux. Oui, je crois pouvoir dire que je l'aime...

Ce soir, il me manque. Encore plus que d'habitude...



http://aasha.pyaar.cowblog.fr/images/img3884.jpgOui, oui on travaillait aussi. Farpaitement!







Dimanche 1er mai 2011 à 20:58

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