Je suis de retour en cours, après une semaine de stage éprouvante, fatigante.
C'est toujours aussi dur de revenir ici, pour des raisons déjà énoncées précédemment.
Hier soir, c'était l'anniversaire d'une amie. Une soirée bien sympathique, où on a bien rit et où j'aurais bu beaucoup plus de chouchen si je m'étais écoutée. Mais heureusement, je sais encore me contrôler. Parce que, alcoolisée, j'aurais badé, peut-être envoyé des textos regrettés le lendemain...Tout ça pour quoi? Parce que C. est venu avec son copain, que l'on a rencontré pour la première fois. Et qu'il a beaucoup de points et de traits communs avec mon parisien préféré. Je suis heureuse pour elle, parce que l'amour qu'ils dégagent tout les deux, elle le mérite vraiment et j'espère le plus sincèrement du monde que leur histoire va durer aussi longtemps que possible.
Mais voilà, lui ressemblant pour diverses raisons, il m'a renvoyé tout ce que je n'avais pas. Il me manque vous savez, à un point que peu de personnes peuvent imaginer. Tout en lui me manque: ses bras, son sourire, sa voix, son odeur, sa peau, ses conneries, son côté boulet, ses lèvres, ses "je t'aime"...tout, absolument tout. J'arrive pas à me détacher, je reste accrochée à un hypothétique espoir, il me rend visite régulièrement dans mes rêves...Je souris en façade, comme toujours. Je positive, car j'ai une personnalité "Hakuna Matata". Et puis, il y a ces soirs comme aujourd'hui où la nostalgie prend le dessus, où les images et les mots me reviennent à l'esprit, où je le revois à la fenêtre de ma pauvre petite chambre comme la dernière fois où l'on s'est vu.
Cette relation m'a rendu faible et vulnérable face à cet amour que je porte en moi. Et j'ai pas l'habitude de cet état...
C'est toujours aussi dur de revenir ici, pour des raisons déjà énoncées précédemment.
Hier soir, c'était l'anniversaire d'une amie. Une soirée bien sympathique, où on a bien rit et où j'aurais bu beaucoup plus de chouchen si je m'étais écoutée. Mais heureusement, je sais encore me contrôler. Parce que, alcoolisée, j'aurais badé, peut-être envoyé des textos regrettés le lendemain...Tout ça pour quoi? Parce que C. est venu avec son copain, que l'on a rencontré pour la première fois. Et qu'il a beaucoup de points et de traits communs avec mon parisien préféré. Je suis heureuse pour elle, parce que l'amour qu'ils dégagent tout les deux, elle le mérite vraiment et j'espère le plus sincèrement du monde que leur histoire va durer aussi longtemps que possible.
Mais voilà, lui ressemblant pour diverses raisons, il m'a renvoyé tout ce que je n'avais pas. Il me manque vous savez, à un point que peu de personnes peuvent imaginer. Tout en lui me manque: ses bras, son sourire, sa voix, son odeur, sa peau, ses conneries, son côté boulet, ses lèvres, ses "je t'aime"...tout, absolument tout. J'arrive pas à me détacher, je reste accrochée à un hypothétique espoir, il me rend visite régulièrement dans mes rêves...Je souris en façade, comme toujours. Je positive, car j'ai une personnalité "Hakuna Matata". Et puis, il y a ces soirs comme aujourd'hui où la nostalgie prend le dessus, où les images et les mots me reviennent à l'esprit, où je le revois à la fenêtre de ma pauvre petite chambre comme la dernière fois où l'on s'est vu.
Cette relation m'a rendu faible et vulnérable face à cet amour que je porte en moi. Et j'ai pas l'habitude de cet état...
Tiens tu aimes le chouchen ?