aasha.pyaar

Don't worry...

Je suis de retour en cours, après une semaine de stage éprouvante, fatigante.

C'est toujours aussi dur de revenir ici, pour des raisons déjà énoncées précédemment.

Hier soir, c'était l'anniversaire d'une amie. Une soirée bien sympathique, où on a bien rit et où j'aurais bu beaucoup plus de chouchen si je m'étais écoutée. Mais heureusement, je sais encore me contrôler. Parce que, alcoolisée, j'aurais badé, peut-être envoyé des textos regrettés le lendemain...Tout ça pour quoi? Parce que C. est venu avec son copain, que l'on a rencontré pour la première fois. Et qu'il a beaucoup de points et de traits communs avec mon parisien préféré. Je suis heureuse pour elle, parce que l'amour qu'ils dégagent tout les deux, elle le mérite vraiment et j'espère le plus sincèrement du monde que leur histoire va durer aussi longtemps que possible.
Mais voilà, lui ressemblant pour diverses raisons, il m'a renvoyé tout ce que je n'avais pas. Il me manque vous savez, à un point que peu de personnes peuvent imaginer. Tout en lui me manque: ses bras, son sourire, sa voix, son odeur, sa peau, ses conneries, son côté boulet, ses lèvres, ses "je t'aime"...tout, absolument tout. J'arrive pas à me détacher, je reste accrochée à un hypothétique espoir, il me rend visite régulièrement dans mes rêves...Je souris en façade, comme toujours. Je positive, car j'ai une personnalité "Hakuna Matata".  Et puis, il y a ces soirs comme aujourd'hui où la nostalgie prend le dessus, où les images et les mots me reviennent à l'esprit, où je le revois à la fenêtre de ma pauvre petite chambre comme la dernière fois où l'on s'est vu.
Cette relation m'a rendu faible et vulnérable face à cet amour que je porte en moi. Et j'ai pas l'habitude de cet état...


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Lundi 5 décembre 2011 à 0:10

Vos mots

Je t'en prie

Par lancien le Lundi 5 décembre 2011 à 8:16
Mais c'est un état normal que d'aimer.
Tiens tu aimes le chouchen ?
Par maud96 le Lundi 5 décembre 2011 à 18:34
Je tombe "par hasard" sur ton blog (je "retiens" Soliworld", mais plus difficilement "aasha.pyaar" !). Forcément, un stage d'éduc est très implicant "affectivement" et faire ressurgir en soi

toutes sortes de problèmes personnels. Pas étonnant par conséquent que cet "amour brisé" se rappelle à ton coeur sous forme de fantôme à la moindre occasion. Je te souhaite de "te"

blinder affectivement : un travail de longue haleine, parce qu'on veut, en même temps, garder les idéaux qui nous animent. J'espère que tu réussiras toutes les épreuves d'un diplôme pas

facile !
Pour terminer sur une note "gaie", sais-tu que la fabrication artisanale du chouchen est décrite ici : http://le-projet-olduvai.kanak.fr/t1874-fabrication-du-chouchen-hydromel , sur un site

"Olduvaï" consacré... à la prévention des risques majeurs ! Le chouchen était donc bien "la boisson" dont tu avais besoin :))
Par invisible.evidence le Mardi 13 décembre 2011 à 17:58
Je ne peux pas te blâmer d'être aussi vulnérable face à des moments pareils. Je suis exactement comme ça, à pleurer, à dire des choses que je vais regretter. Par peur, par doute.
J'espère qu'il reviendra vers toi, très vite. Et je crois aussi que quand quelqu'un nous manque terriblement, on a tendance à le voir partout, à le reconnaître là où il n'est pas, pour le rendre plus proche.
Accroche-toi.
 

Je t'en prie









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