Je sais, j'ai une semaine de retard, mais j'ai tout le mois de janvier pour le faire d'abord, alors prout!
Donc, bonne année à tous! Je vous souhaite qu'elle vous apporte tout ce que vous espérez de meilleur. Et qu'on soit à nouveau là dans 1 an, heureux et en bonne santé.
Si je me retourne sur cette année 2011, je peux en fait la couper en 2.
Elle aura été marquée par l'acquisition de ma Licence, la réussite au concours, la redécouverte de l'amour et tous les moments merveilleux inhérents à tout ça.
Mais ce fut également une année éprouvante, stressante. Recherche de stage, départ pour Babylone, éloignement de l'être aimé....
Une année de réussites et de distances.
Je ne regrette rien.
Partir m'a fait rencontrer des personnes formidables. Partir m'a permis de me rendre compte que Paris sans les parisiens c'est pas mal. Partir m'a fait prendre pleinement conscience de mon identité bretonne. Partir m'a frustré. Partir m'a fait regresser.
Rien n'est tout noir ou tout blanc.
Aujourd'hui, je suis nostalgique. De mes années rennaises où la vie était simple. De ces soirées avec les amis. De mon autonomie perdue ici. Des moments passés ensemble. De Lui.
Oui, il me manque toujours autant et rien ne s'arrange. Mais, bien malgré moi, je reste accrochée. Je ne peux pas me détacher de lui, même si je sens qu'il le faudrait.
Et le Passé inachevé ressurgit à mon esprit, me fait douter plus que jamais, me rappelle à la Bretagne et la vie simple à laquelle j'aspire. Un jour je vous en parlerai, peut-être
Tiraillée entre ici et là-bas.
J'ai hâte d'avoir un nouveau logement (d'ailleurs si quelqu'un a des bons plans sur Paris ou très proche banlieue, je suis preneuse).
Hâte de démarrer un nouveau stage.
Hâte de pouvoir faire ce qu'il me plaît.
Hâte de me poser même si la Bretagne me manquera de ne pas pouvoir rentrer aussi souvent.
Hâte au soleil, à la chaleur.
Hâte à l'amour (si il pouvait se dépêcher lui, ça m'arrangerait)
Hakuna Matata! Disneyland, c'était d'la balle!
Et désolée de pas laisser de traces sur vos blogs. Fatigue et flemme. Mais je passe toujours, promis.
Dimanche 8 janvier 2012 à 18:16