Je repars dimanche. La boule au ventre. Avec appréhension. Parce que là-bas, je l'associe forcément à lui. Et que tout ce qui me ramène à lui me fait mal.
Ici, je suis loin. Ma famille et ma chambre d'enfant me permettent d'éloigner mes pensées. Alors j'appréhende de repartir et d'être confrontée à nouveau à mes angoisses.
L'amour, ça fait mal.
Cette nuit, le ciel est clair et les étoiles brillent....
Il y a un peu plus de 7 mois, il a voulu me montrer les étoiles. A Paris. Mais à Paris, il n'y a pas d'étoiles. J'ai joué le jeu, tout en le taquinant. Et quand un avion est passé, il m'a dit de fermer les yeux et de faire un voeu. C'était une étoile filante pour nous. Et quelques minutes plus tard, mon voeu se réalisa.
Alors les nuits étoilées, elles me feront toujours penser à LA nuit, une des plus magiques de ma vie.
Il me manque. Y a comme un vide au plus profond de moi-même.
Lui.
Samedi 19 novembre 2011 à 0:01